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Attention l’ibuprofène n’est pas toujours votre allié!
De plus en plus de gens prennent de façon régulière des anti-inflammatoires comme l’ibuprofène. Une étude récente met en garde les jeunes hommes sportifs contre l’usage important de l’ibuprofène. l’ibuprofène présente t-il des risques pour d’autres personnes, comme les femmes enceintes? Y-a-t-il d’autres options thérapeutiques? Faisons le point ensemble
Jeunes hommes sportifs attention aux excès d’ibuprofène
Des études montrent que l’ibuprofène présente des effets indésirables
Une étude récente met en garde les jeunes hommes sportifs contre l’usage important de l’ibuprofène. En effet cet anti-inflammatoire induit à dose importante un déséquilibre hormonal inquiétant.
Cette étude a été publiée dans une revue scientifique, Proceedings of the National Academy of Sciences/
Elle avertit les jeunes hommes sportifs, sur les effets délétères de l’ibuprofène qui est utilisé massivement dans ce milieu.
En effet cet anti-inflammatoire induit à dose importante un déséquilibre hormonal inquiétant.
Pourquoi les sportifs utilisent-ils l’ibuprofène (anti-inflammatoire)?
L’ibuprofène est souvent pris par les sportifs pour diminuer les douleurs articulaires et musculaires dues à l’effort, enlever les maux de têtes, les courbatures…
De plus, ce médicament (disponible sans ordonnance) entraînerait une baisse importante de la capacité de reproduction ainsi qu’une perte de capacité physique.
L’ibuprofène est un AINS (anti-inflammatoire non stéroïdien) qui a de nombreux effets indésirables entre autre au niveau de l’estomac, de l’intestin (micro lésions intestinales).
Il réduit le flux sanguin dans le système gastro-intestinal, diminue l’efficacité de la barrière intestinale, il entraîne un risque accru d’hématome, peut amener à différentes affections rénale …
De même l’ibuprofène n’est pas non plus recommandé pendant la grossesse chez les femmes enceintes (car il peut être la cause de différents troubles dont des perturbations hormonales)
Conseils pour le sportif
Avant l’utilisation d’un anti-inflammatoire comme l’ibuprofène demandé l’avis d’un médecin.
Le Saviez vous:
L’ibuprofène se prend uniquement pendant un repas ce qui limite un peu les troubles de l’estomac.
Il est important de bien espacer les prises d’au moins 6 heures, et de ne pas mélanger la prise avec d’autres médicaments.
Des solutions efficaces et sans effets indésirables existe comme la mésothérapie, la kinésithérapie, la chiropractie ,l’étiopathie ou l’ostéopathie.
N’hésitez pas à en parler à votre médecin ou votre ostéopathe.
De plus, il existe d’autres anti-inflammatoires naturelles comme le curcuma, les oméga 3, la propolis…
Même dans les cas de douleurs aiguës ou d’urgences fonctionnelles; l’usage de cet anti inflammatoire doit rester ponctuel et ne pas devenir régulier.
L’ibuprofène présenterait aussi des risques pour les femmes enceintes
D’après plusieurs études scientifiques, l’ibuprofène pourrait aussi présenter des risques pour les femmes enceintes lors de la grossesse.
En effet, ce médicament pourrait perturber le développement normale chez l’enfant à naître.
Dans les effets indésirables possibles, sont cités un trouble du développement de l’appareil génital du garçon à naître, petit poids à la naissance pour le nourrisson, accouchement prématuré, asthme dès l’enfance…
Chez le futur garçon cela entraînerait une cryptorchidie (trouble de la descente des testicules dans le scrotum) ce qui augmente fortement le risque d’une infertilité future.
L’usage fréquent de l’ibuprofène peut aussi entraîner chez l’enfant mâle, l’hypospadias, une malformation de l’urètre.
Ce médicament entraîne donc des perturbations du système hormonale dans le testicule humain.
De même ce médicament aurait aussi des effets indésirables sur la future fertilité des filles à l’âge adulte, ayant été exposé à cet anti-inflammatoire in utero, selon une étude française.
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L’ANSM (agence française du médicament) contre-indique donc l’usage des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) surtout après le 6ème mois de grossesse, car ils sont toxiques et entraîneraient des atteintes rénales et cardio-pulmonaires.
Pourtant 30% des femmes prennent de l’ibuprofène les trois premiers mois de la grossesse!
L’usage de l’ibuprofène doit donc être très ponctuel chez la femme enceinte, surtout qu’il existe d’autres solutions pour soulager les douleurs de la parturiente, comme l’ostéopathie.
L’automédication doit être évité par les femmes enceintes, il existe de nombreuses méthodes et thérapies sans risques qui doivent d’abord être privilégiées avant la prise de médicaments.
N’hésitez pas à en parler à votre gynécologue ou votre sage-femme.
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